Que la en-majorité investisse toute cette puissance pour assurer sa majorité, est dans la logique des choses, si :
. la majorité ne lui est pas constitutive : la collégialité enseignante s'est divisée à parts à peu près égales, et le risque est celui d'une légitimité fragile. C'est de guerre, de bonne guerre peut-être, conditions des décisions par vote.
. elle craint la fragilité de sa légitimité. Faire le choix de consolider, bétonner, aussi uniment - mais alors aussi visiblement, se dénonçant elle-même publiquement - en assurant auprès d'elle les votes des blocs étudiants, BIATSS et extérieurs, est un choix, et une déclaration. Une priorité à la majorité, clairement énoncée, et performée avec la félicité maximale.
Question pendante pour moi : que craint-elle, de la liste d'opposition ? Outre de n'avoir pas la majorité absolue de fonctionnement, qui est toujours un horizon technique et asymptotique qu'on surveille.
Il va falloir que j'aille identifier ça en remontant dans la conversation, archive du printemps.
. la majorité ne lui est pas constitutive : la collégialité enseignante s'est divisée à parts à peu près égales, et le risque est celui d'une légitimité fragile. C'est de guerre, de bonne guerre peut-être, conditions des décisions par vote.
. elle craint la fragilité de sa légitimité. Faire le choix de consolider, bétonner, aussi uniment - mais alors aussi visiblement, se dénonçant elle-même publiquement - en assurant auprès d'elle les votes des blocs étudiants, BIATSS et extérieurs, est un choix, et une déclaration. Une priorité à la majorité, clairement énoncée, et performée avec la félicité maximale.
Question pendante pour moi : que craint-elle, de la liste d'opposition ? Outre de n'avoir pas la majorité absolue de fonctionnement, qui est toujours un horizon technique et asymptotique qu'on surveille.
Il va falloir que j'aille identifier ça en remontant dans la conversation, archive du printemps.